Nicolo, L'Enfant trouvé, a pris la place du fils défunt du vieux Piachi. Licencieux, il s'entiche d'une femme entretenue et, face à la réprobation de sa belle-mère, décide de se venger de cette dernière. Inutilement compliquée, cette histoire n'a pas la grâce habituelle des nouvelles de Kleist. On en retiendra la passion désolée de l'héroïne pour un "fantôme d'amour".
Quant à La Mendiante de Locarno, cette histoire de spectre relève de l'anecdote fantastique. Son intérêt reste limité.