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Dans ce poétique hommage aux verts paradis, Juliet, sauvageonne solitaire, et Lee, son copain de hasard, explorent leur Eden, libres et nus.
Jusqu'au jour où la grand-mère de Juliet -Dieu presbyte- les découvre et sexualise leur innocente amitié.
"J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché."
La gamine percute alors violemment un avenir écrit pour elle par d'autres.
Le désenchantement est palpable dans la précieuse odelette : Faulkner s'y montre léger comme une aigrette de pissenlit et nous émeut avec ce récit d'une enfance qui meurt...