
"(...) mais la toute beauté de Rachel captivait les regards."
Dieu est en colère : son peuple, idolâtre, sacrifie à des fétiches sanguinaires. Alors Dieu punit son peuple, sourd à qui demande miséricorde.
Sortie des limbes, Rachel, immolée en son temps sur l'autel de la passion amoureuse, plaide pour ses fils...
Dans cette courte nouvelle, Zweig s'empare de quelques versets bibliques qu'il fertilise de sa plume de poète : y infuse un désir charnel incandescent. C'est juste parfait.