
Conte licencieux sous le patronage de Balzac, Les Deux sœurs constitue un petit exercice de style plaisant.
Les jumelles Helena et Sophia, ménechmes et rivales dans le vice ou la vertu, n'ont de cesse de se mesurer mais comme l'écrit Pierre Philippe seul le temps cruel changera les maquerelles
"En dévote(s) notoire(s)
C'est ainsi que les radasses
Ont de vibrants adieux
La toute dernière des passes
Elles la font avec Dieu."
Les Noces de Lyon, minuscule et édifiante nouvelle, nous narre l'union ante-mortem de deux tourtereaux pris dans les rets de la Révolution française. Amours de Convention.